PRESSE EXTRAITS :
« En règle générale, le djembé irrite le rocker, le fait fuir en hurlant à la mort. Et si ça changeait avec dOMb ? » Rock Sound
« Tour à tour hypnotique, bourrine ou groovy, la musique se construit au fil du martèlement syncopé des cordes et des fûts dans un tumulte de tous les diables » Longueur d’Ondes
« Ce premier album particulièrement tonique relève d’une transe ethnique et tribale qui évolue loin des sentiers battus » Rock & Folk
« Une alternance continuelle entre « brutalité » énergique et douceur orientalisée (…) », Nouvelle Vague
« Créatif et organisé, Domb brasse les cultures et les sonorités (…) », Francofans
« (…) guitares acérées (…) frénésie de rythmes tribaux (…) basse dingo », Lylo
« Dans la famille des groupes un poil barrés, j’ai nommé Domb ! », Sur Les Rails
« Dans le genre « groupe qui met une bonne claque », dOMb se pose sans soucis. », Bazart
« (…) un rock tribal complètement délirant, super péchu, bref irrésistible ! », Sur Les Rails
« Un 1er album super accrocheur qui vous embarque dans une danse extatique », Sur Les Rails
« (…) leurs prestations scéniques qui font jumper les foules sont ainsi fidèlement retranscrites », Cultzine
« (…) tout s’enchaîne dans cet album « tout à fond » et sans compromis. », Le Transistor
« Hormis le côté ethnique très marqué par l’utilisation d’instruments comme le didjeridoo et le sitar, ça arrache ! Il y a tout ce que j’aime là-dedans : une grosse batterie bien puissante, une basse qui groove sa mère avec un son de ouf, et même des riffs de guitare saturée sur certains morceaux. », Fanzine La Mine
« Ce que Max Cavalera a pris aux indigènes amazoniens, Domb l’a récupéré dans un contexte encore plus tribal, et ça marche super bien. », Fanzine La Mine
« Au lieu de foncer tête baissée sans réfléchir, Domb innove (…) », W-Fenec
« « Pamalalarache » confirme tous les espoirs que l’on caressait légitimement quand il était question de Domb ! », Zicazic
"(...) capables, avec seulement 8 mains et 4 bouches, de vous foutre un bordel digne d'une tribu indigène qui aurait mangé trop de champis.", Mon P'tit Doigt M'a Dit
Live :
"(...)une curiosité peu définissable, un groupe intégrant bidons métalliques et curiosités exotiques à leur rythmes hybrides et hypnotiques.", Alter1Fo
"Joyeux bordel, tohu-bohu, souk, appelez ça comme vous le voudrez mais toujours est il que le public est particulièrement réactif à une musique riche et variée qui dépasse de loin ce que l'on a l'habitude d'entendre en terme de rythmes tribaux. Pogo général instantané à la moindre invective !", Zicazic
"Domb c'est Sepultura période Cavalera sans les guitares. Autant dire que c'est de la bombe sur scène. Ils ont un jeux de scène de folie et un son surpuissant. Dès le premier morceau c'est déjà l'apocalypse dans la fosse. Le world-core-percus du groupe est unique et super énergétique pour réchauffer un public en mal de sensations fortes. Le pauvre gars qui faisait la sécurité de la scène à dû appeler sans tarder tous ses potes pour l'aider à tenir la barrière de sécurité et qui ont, eux même dû mettre des tables pour retenir la barrière contre la grosse furie de la fosse. Un concert énorme !", Le Bruit et la Sueur
Premier concert belge, 2 aout 2008 :
"Quelle pêche! Quelle énergie...
Tous ces rythmes tribaux, cette ambiance survoltée et le capital sympathie indéniable des français nous a enchantés, envoûtés... et convaincus!
Mention bien pour ce concert surprenant :o)
Envie de les écouter? C'est une excellente initiative."
Marie-Amélie Mastin, Classic 21.
"Zita Swoon ou Kenny Arkana étaient là ce week-end pour nous empêcher de tomber dans la généralisaion. Même chose pour doMb, samedi soir. Ils sont 4 et n'ont comme instrument que des percussions et une basse. Mais cela leur suffit pour délivrer pendant une heure un concert en forme d'avalanche de rythmes. La formule peut paraître redondante, l'énergie qui s'en dégage la rend presque hypnotisante. Et crevante, tant il semble impossible de ne pas sauter sur place en les écoutant." (
http://allaccess.lalibreblogs.be )
"Décharge rythmique.
En route pour le côté cour où les dingos de doMb ont pris possession de la scène. La formule est simple : des percussions et une basse pour une décharge rythmique, purement tribale, qui soulève le (jeune) public comme un seul homme. La dichotomie entre le bas du site, ses musiques d'agités, et le haut, ses découvertes "world", est respectée." (La Libre Belgique)
"Le samedi, les français de DoMb dont c’était la toute première date en Belgique ont offert le concert le plus démentiel du festival ! Notre petit doigt nous dit qu’ils repasseront bientôt dans la région." (Communiqué de presse, Festival Esperanzah!, 04/08/09)